La grande île a tous les atouts pour augmenter les
connaissances des enfants malgaches. Ces derniers ont le droit de connaitre les
différentes richesses naturelles présentes sur leur terre. Pour promouvoir et
faire connaitre aux enfants malgaches de quoi possède leur île, ils doivent
visiter les différentes réserves naturelles et savoir quelles sont les espèces
animales et végétales qui y vivent.
Hôtel situé à Bekopaka, Le Grand Hôtel du Tsingy de Bemaraha est implanté tout prêt d’un réserve naturel intégrale qui permet au touriste de profiter la splendeur d’un des sites patrimoine mondial déclaré par l’UNESCO.
mercredi 27 septembre 2017
lundi 11 septembre 2017
Un périple de sensation à Manambolo
Ce voyage inédit le long du fleuve Manambolo se traduit par
nature et découverte. On n’a pas le droit d’avoir peur ni de se poser des
questions sur ce qui nous attend lors de la descente. On se laisse aller et on
apprécie l’aventure au cœur de cet environnement splendide et époustouflant
qu’est Manambolo.
Une descente du fleuve Manambolo en pirogue
Le fleuve de Manambolo est situé dans la partie sud du parc
de Bemaraha. Vous avez surement entendu parler de ce fleuve qui, depuis
longtemps, attire les touristes à la quête d’aventure et de sensation forte. Pour
découvrir les trésors qui se cachent autour de ce fleuve, vous louez une
pirogue et vous longez la grande eau en compagnie d’un guide. Autour de vous,
Manambolo en lui-même, les talus abrupts, les berges de sable et les grottes formant
des lieux de refuges à quelques animaux. De temps en temps, vous croiserez
d’autres pirogues et canoë transportant des touristes aussi curieux que courageux
voulant découvrir l’authenticité de cette nature sauvage.
Un haut lieu où la nature est suprême
Il n’y a pas de mot pour décrire ce lieu. Suprême, grandiose
et majestueux, ces termes définissent le fleuve de Manambolo et de ses
alentours. Sur votre canoë ou votre pirogue traditionnelle, vous admirerez la
grandeur de la nature. Une étendue de terre se trouve à perte de vue, sans
oublier les grandes collines et les larges bancs de sable. Ces berges de sable
se transforment parfois en étangs décorant merveilleusement le lieu. Parfois,
ce sont de gigantesques falaises qui laissent place au fleuve qui trouve son
chemin entre les gorges. Ce croisement entre fleuve, gorges et falaises est
tout aussi étonnant que le décor naturel offert par les collines et la terre
sauvage. Ici, vous êtes invités à ramer et à pagayer pour longer le fleuve en
toute tranquillité.
Une alternative avant d’atteindre les Tsingy
Situé de l’autre côté de la rive, les Tsingy attendent votrevenue. Mais avant d’y pénétrer on continue le périple et on se laisse
apprivoiser par la nature luxuriante qui borde le fleuve Manambolo. Toujours
dans votre pirogue, vous apercevrez des formations de calcaire recouvertes de
végétations. Des cavités sont aussi visibles, dans lesquelles les stalagmites
et les stalactites ont forgé leurs pointes. Au sommet des falaises, des
oiseaux, des chauves-souris ainsi que d’autres reptiles vivent en toute
sérénité. Quant aux grottes, celle des Hirondelles sert d’abris pour les
hirondelles, comme son nom l’indique. La grotte de la Glotte est, quant à elle,
un héritage historique dans laquelle les ancêtres servaient de maisons
autrefois. En ce moment, ces grottes sont faciles à observer et pérennisent
leurs histoires à travers les années. Toutes les personnes qui longent le
fleuve Manambolo connaissent leurs véritables chroniques et ont eu droit à une grande
découverte historique et touristique.
lundi 28 août 2017
Où trouver des Baobabs à Madagascar ?
Madagascar est le pays des baobabs. Parmi les huit espèces répertoriées sur toute la planète, six espèces endémiques se trouvent dans ce merveilleux pays. Les deux autres sont situées en Australie et en Afrique. Pour les adeptes de la nature idyllique qui envisagent un voyage à Madagascar, voici un petit guide des meilleurs endroits où trouver des baobabs.
Au nord-ouest : à Majunga
Lorsqu’on parle de la province de Majunga, au nord-ouest de l’île, on a directement en tête l’image d’un grand baobab situé à proximité du bord. Celui-ci fait partie des espèces Andasonia Digitata. Dans toute l’île, le baobab de Majunga est celui qui possède la plus grande circonférence. A un mètre du sol, il mesure 21.70m de circonférence. Sa hauteur n’est toutefois imposante puisqu’elle ne dépasse pas les 10 mètres de haut. Selon la légende, cet arbre a été planté par les arabes il y a 900 ans. Cette population arabe a considéré la province de Majunga comme sa région principale, d’où l’importance de planter cet arbre sacré.
Au sud-ouest de l’île
La plupart des baobabs se trouvent au moyen-ouest du pays. Si vous voulez rencontrer une forêt de baobabs, mettez directement le cap sur le moyen-ouest et le sud-ouest de l’île. A commencer par la région Belo sur Tsiribihina en passant par Andavadoaka, il est déjà probable de rencontrer quelques espèces. En continuant la route vers Morondava, vous serez pile au centre des baobabs. L’endroit s’appelle l’Allée des Baobabs et comme son nom l’indique, on vient ici pour admirer ces arbres atypiques au format original. Un nombre incalculable de baobabs se trouvent dans cette localité. Certains datent de plusieurs centaines d’années tandis que d’autres sont âgés d’une vingtaine ou d’une cinquantaine d’années. De toutes les tailles et de différentes espèces, les baobabs de Morondava sont sacrés. Ils attirent de nombreux touristes mais ces graines servent aussi de nourritures aux habitants. Le cœur de l’arbre peut servir de réserve d’eau en saison sèche et les feuilles qui tombent sont utilisées pour confectionner des infusions ou des plantes médicinales. Outre les fruits qui sont très nourrissants, les fibres de l’écorce sont également indispensables pour fabriquer des objets artisanaux.
Les réserves naturelles de Kirindy et d’Andranomena, toujours situées au sud-ouest de l’île, regorgent aussi de baobabs. On observe plusieurs espèces de baobabs parmi lesquelles l’Adansonia perrieri, l’espèce menacée de disparaitre. L'Adansonia madagascariensis est également très présente au cœur de ces réserves à part l’unique espèce africaine et les autres espèces endémiques de l’île.
Au sud : à Mangily Ifaty
Dans la province de Tuléar, dans la partie plus au sud, les baobabs sont également abondants. Le village le plus proche s’appelle Mangily Ifaty et l’endroit se nomme la forêt des 1200 baobabs. La végétation y règne ici en maitre et les baobabs sont les plus vénérés. Ce qui distingue cet endroit c’est que les baobabs sont aux multiples formes. Vous pouvez y voir des formes en bouteille renversée, en rhinocéros, en théière et même en grand spécimen. Ces arbres se laissent facilement observés et offrent une image paradisiaque difficile à oublier. Bien qu’ils soient nombreux dans cette localité, la faune est aussi omniprésente. Ces arbres servent d’abris pour plusieurs espèces animales telles que les lémuriens, les chauves-souris et quelques oiseaux et reptiles.
jeudi 17 août 2017
Connaissez-vous la plage de Nosy Kely à Morondava ?
Lorsqu’on parle de Morondava, on pense toujours aux baobabs. Pourtant, il existe d’autres intérêts qui font la réputation de cette localité du sud-ouest. Avant d’atteindre l’allée des Baobabs, à 18 kms du centre-ville de Morondava, les vacanciers ont aussi droit à la plage de Nosy Kely, un endroit moins connu mais qui offre plusieurs potentialités touristiques.
Un cadre magnifique adapté à tous les visiteurs
Quand vous partez en vacances, vous avez envie de visiter de nouvelles localités. A priori, vous aimerez profiter de la plage, du soleil et de la chaleur estivale. Ces critères sont importants pour oublier le rythme quotidien des grandes villes mais surtout pour se ressourcer et se reposer également. Si vous penchez pour le sud-ouest de Madagascar, nombreux endroits répondent à ces critères. Soleil, plage et magnifique bord de mer, voilà ce qui vous attend au Nosy Kely à Morondava. L’endroit est tout simplement agréable, modeste mais conforme à toutes les attentes.
Des infrastructures touristiques implantées à proximité de la plage
Les baobabs sont une chose mais la plage de Nosy Kely en est une autre. A proximité de l’allée des Baobabs, principale attraction touristique de la ville, vous pouvez rencontrer des établissements hôteliers. Ils ont été bâtis au grand bonheur des visiteurs du site. Du côté de la plage de Nosy Kely, c’est également la même situation. Des hôtels, des bars et des restaurants y ont été construits. Tous les profils de visiteurs peuvent trouver l’infrastructure qui leur convient. Une fois sur place, on peut louer de simples bungalows à prix réduits. Par ailleurs, on peut également se permettre une vie de luxe grâce aux hôtels de prestige proposant des tarifs plus élevés. La réservation vaut vraiment le coup puisque qui dit prix élevé dit services de luxe. En plus de la plage privée, les clients ont droit à la piscine, au spa et aux hébergements plutôt raffinés (suites et chambres tout confort).
Un atout qui mérite quelques soins particuliers
Bien que la plage de Nosy Kely attire un grand nombre d’investisseurs touristiques et immobiliers, l’endroit mérite quelques agencements par-ci par-là. Le problème concerne la propreté des lieux. A quelques minutes de là, la saleté et la misère sautent directement aux yeux. Un point négatif qui pourrait entacher la réputation de la localité. En effectuant quelques travaux d’aménagement et de nettoyage, l’état et la région pourront bénéficier d’une rentrée d’argent supplémentaire. En constatant la malpropreté à côté de la plage, les touristes et les vacanciers préfèrent rejoindre d’autres endroits plus intéressants. Alors qu’il possède divers atouts à découvrir absolument, Nosy Kely vaut quelques attentions particulières afin de séduire encore plus de visiteurs. Quel est le rôle des autorités malgaches dans tout ça ? Quels genres d’action le ministère du tourisme doit-il prendre ? A eux de voir !
Mais en attendant qu’ils agissent, on revient sur cette plage paradisiaque. On contemple le beau coucher de soleil et on en profite pour se bronzer les pieds en éventail.
samedi 29 juillet 2017
Quelle végétation trouve-t-on au cœur du Tsingy de Bemaraha ?
Vous connaissez surement le célèbre Tsingy de Bemaraha. C’est un endroit qui ne mérite plus d’être présenté, sa réputation atteint déjà un niveau très élevé. Malgré sa cote, ce site unique au monde regorge toujours de surprises. Il y a constamment des nouveautés à découvrir et à commenter à propos de ce site. Pour ces quelques lignes consacrées au Tsingy de Bemaraha, concentrons-nous sur la végétation qui a trouvé refuge au cœur du site.
Une forêt dense et sèche
Outre les roches calcaires qui recouvrent la grande totalité du Tsingy de Bemaraha, il existe aussi une forêt dense servant d’habitation à quelques espèces animales endémiques. Cette forêt est certainement épaisse mais elle est aussi sèche et caducifoliée, dite tropophyle. Cette formation a été créée en fonction de l’écorégion de la partie ouest de Madagascar.
Une savane qui décore la forêt
Lors de votre visite au cœur de ce massif karstique, vous remarquerez que la forêt est entrecoupée de savane. Au milieu de cette savane, une partie de la végétation s’est implantée. Elle regroupe différentes formations végétales dont certaines sont sèches et d’autres humides. Celles qui sont sèches se sont ensemencées entre les dalles de calcaire, projetant leur tige au plus haut sommet des roches pour atteindre la lumière naturelle du soleil. Ce grand jaillissement est indispensable afin de provoquer la photosynthèse, une étape importante pour la survie de ces plantes.
Si vous voulez voir les formations végétales humides, vous devez passer par les canyons et les bordures des cours d’eau. Ces plantes humides ont besoin non seulement de l’humidité du sol mais aussi de l’eau fournie naturellement par les cours d’eau et les sources jaillissantes des canyons.
Même si vous serez toujours accompagnés d’un guide, il est préférable de ne pas toucher à ces plantes. Comme disent les spécialistes, certaines d’entre elles sont de redoutables poisons, tandis que d’autres constituent de véritables plantes médicinales et curatives. Avant de les approcher, admirez-les de loin ou ayez la décence de vous informé auprès de votre guide.
Diverses formes de végétations
Comme la population de l’ouest, la végétation est également habituée au climat aride de la région. La pluie est souvent absente donc toute forme de végétation s’accoutume pour survivre à la sécheresse de l’ouest. A force de s’habituer à cette situation, certaines feuilles de plantes se métamorphosent en épines pour préserver l’eau. Ce phénomène de transformation n’est autre que la spinescence.
A part la spinescence, certaines plantes du Tsingy de Bemaraha ont adopté la pachycaulie. C’est une autre forme d’adaptation qui consiste à augmenter le volume des troncs afin de stocker le maximum d’eau.
Au Tsingy de Bemaraha, les plantes vivent également au ralenti. Elles assèchent leur appareil végétatif pour attendre la saison des pluies. Cette adaptation s’appelle la reviviscence.
Si nombreuses d’entre elles survivent par reviviscence, par spinescence ou par pachycaulie, d’autres se transforment en plantes naines et se présentent donc dans un état de nanisme.
Aussi étonnante qu’originale, la végétation du Tsingy de Bemaraha vous dévoile un mode de survie unique en son genre. Pour découvrir de plus près cette surprenante méthode de survie, un voyage au cœur du site est amplement recommandé.
samedi 22 juillet 2017
Faire de la pêche sportive à Madagascar
A Madagascar, on aime découvrir et visiter mais on aime surtout faire du sport. Quand on parle de sport, il ne s’agit pas uniquement pas de trail, de trekking ou de randonnée. On parle aussi de la pêche. Sport et pêche peuvent aller ensemble, et cette fois-ci, il s’agit bien de la pêche sportive.
Madagascar, une belle destination pour la pêche sportive
Les malgaches adorent pêcher. Grâce à cette passion effrénée, cette activité a été incluse parmi les pratiques touristiques à faire dans la grande île. Par la richesse aquatique disponible dans les eaux marines de Madagascar, il est permis de faire la pêche sportive dans certaines régions. La plupart du temps, on emmène les touristes dans la partie nord-ouest de l’île. Dans cette localité, une grande diversité de poissons attend les pêcheurs même les plus ingénieux.
Où faire de la pêche sportive ?
10% des malgaches vivent de la pêche et de la vente de poissons. Ceux qui habitent les côtes et des bords de lacs ne misent que sur ces sources de revenus depuis la nuit des temps. Tout comme eux, quelques opérateurs touristiques invitent les visiteurs à pratiquer cette activité typiquement rentable. Même s’il ne s’agit pas seulement d’une activité pour avoir de l’argent, faire de la pêche est une pratique sportive très appréciée des touristes. Une fois arrivés sur la grande île, direction au nord-ouest de Madagascar. Des zones bien précises sont réservées à la pêche sportive, à savoir l’archipel de Mitsio, la baie du courrier, l’île de Nosy Be et la province de Diego Suarez. En plus du cadre paradisiaque de ces endroits, la pêche exotique s’affiche en grande pompe dans ces localités touristiques.
Quels sont les poissons les plus populaires de la grande île ?
En plus de la pêche proprement dite, on ajoute aussi la baignade et la plongée à vos activités marines. Tout comme la richesse terrestre qui abonde sur ces zones, leur potentiel halieutique est résolument incomparable. Les touristes peuvent y pêcher en toute liberté malgré le fait qu’un programme de préservation soit élaboré pour protéger la ressource halieutique de ces zones de pêche. Lors de votre visite donc, vous serez invités à pêcher quelques poissons populaires comme les marlins, les espadons et les carangues. Si vous aimez les espadons, la bonne période de pêche se situe entre avril et novembre. Pour la pêche des carangues, vous devez y venir en avril et mai ou en octobre et novembre.
Pour les novices, quelques techniciens sont présents sur place afin de leur montrer les meilleures techniques de pêche. Ces techniciens ont été formés dans le but d’accompagner les touristes venus pêcher dans ces endroits. Si c’est une première fois pour vous, ne vous inquiétez pas, la technique de la relâche ou du « catch and release » ne vous paraitra pas difficile.
mercredi 28 juin 2017
Allons savourer les succulents plats malgaches !
Ce sujet plaira surement aux grands gourmets. Et pas seulement. Les cuisiniers, les mères de famille, les hôtels et restaurants ainsi que les amoureux des bons plats apprécieront également cette ébauche culinaire. On y va ?
Madagascar, une île paradisiaque qui attire chaque année des millions de touristes. Ils viennent ici pour visiter les plages et les richesses naturelles mais aussi pour gouter à la haute gastronomie malgache. Qu’on soit au nord, au sud, à l’est ou l’ouest de l’île, quelques plats communs composent cette gastronomie typiquement malgache. Pour cette escapade gustative, allons savourer ces mets malgaches riches en gout !
Le riz et ses mets traditionnels
On le sait tous, le riz est l’aliment de base des malgaches. On en mange partout et on a l’habitude de l’apprécier avec ces divers mets ou accompagnements aussi bons que savoureux.
Premier met traditionnel malgache : le ravitoto. Comme les malgaches, nombreux touristes ont déjà gouté à ce plat et se sont amourachés du riz avec du ravitoto. Bien qu’il soit trop huileux, ce met à base de feuilles de brèdes pétries est tout simplement divin. Pour mieux réussir le plat, on ajoute quelques morceaux de viandes de porc ou de zébu bien gras dans le ravitoto.
Second plat : le hen’omby ritra ou viande de zébu sans eau. Ce plat est aussi très bon et se cuisine particulièrement sans eau. Pour bien moudre la viande, on en rajoute de l’huile, de l’huile et encore de l’huile. Ce plat peut être mangé seul en accompagnement du riz mais on peut aussi le mélanger avec des haricots blancs, des pois chiches ou des pois de cap. Ça donne une autre saveur encore plus succulente, genre cassoulet à la malagasy.
Dernier plat : le romazava ou le bouillon de brèdes ou d’épinard. A la base, ce bouillon sert à arroser le riz pour le rendre moins sec. Comme ça, il est facile à mâcher et à ingurgiter en bouche. Même si on peut joindre d’autres mets comme les steaks et les poissons à ce bouillon de brèdes, à lui tout seul, il peut être un bon accompagnement pour le riz. A part les brèdes et les épinards, on ajoute tout simplement de la viande et de l’angivy (une légume verte de la taille d’une tomate, un peu amère mais très bon pour la santé)
Que sert-on le plus dans les restos et les grands hôtels malgaches ?
Quelques petits restaurants ne servent que des plats typiquement malgaches comme ceux cités ci-dessus. Dans les restaurants chics et les grands hôtels, on a plusieurs choix de plats. Et d’un, on sert des plats traditionnels malgaches, et de deux, on a droit à des spécialités : chinoises, européennes, indiennes, etc.
Si vous visitez l’Ouest ou le sud-ouest malgache, les hôtels implantés dans cette partie de l’île proposent principalement des plats variés à base de légumes saisonniers, de fruits de mer et de fruits saisonniers. Pas étonnant, puisque la population locale vit de la pêche et de l’agriculture. Pour offrir une cuisine tout à fait fraiche, ces hôtels du sud-ouest préfèrent servir des plats au choix mais toujours à base de produits frais.
Prenons quelques exemples de plats malgaches servis dans les hôtels du sud-ouest :
- - du riz avec de la viande sauce
- - du riz avec des légumes bien cuites
- - de la salade fraiche avec des fruits de mer (langoustes, écrevisses)
- - du riz avec du poisson à la sauce tomate
- - du riz avec romazava (bouillon de brèdes) et steak grillé
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